” La forêt est en train de perdre ses valeurs écologiques et biographiques. Ce qui reste à la population ne représente plus 100 hectares. Notre santé est menacée”. Grogne Dr Mame Cheikh Ngom, porte-parole des manifestants et de poursuivre : « Les femmes sont les plus impactées dans cette déforestation. La population assure que désormais, elle n’acceptera plus les dons et autres cadeaux que leur offrait la direction des ciments du Sahel ».