Selon le ministère, un contrôle « a révélé la présence de vibrion cholérique » dans une source d’eau de la Wilaya côtière de Tipaza, ou 12 cas ont été confirmés. La source « été condamnée» et son eau est « interdite à la consommation ». Le gouvernement tente tant bien que mal de rassurer la population en affirmant que « les cas sont isolés et limités à quelques familles » et que la « situation est maitrisée ». Il faut noter que les autorités sanitaires excluaient jusqu’ici une contamination par l’eau.
Les habitants du village sont partagés sur la fiabilité des résultats .Pour certains, il est hors de question de designer cette source comme responsable de l’épidémie « on boit cette eau depuis des années, nos femmes, nos enfants, personnes n’est tombé malade » explique un habitant de la localité dans une vidéo qui circule sur le net. Pour eux, les autorités ne cessent de bafouiller sur l’origine de l’épidémie et ainsi à la suite des informations diffusées, des jeunes de la s
D’autres, en panique respecte et reconnaissent la fiabilité des résultats données par les hauts responsables et prennent toutes les dispositions nécessaire afin d’éviter tout contact avec cette eau. C’est donc dans une atmosphère de confusion et d’interrogation que les algériens attendent les recommandations qui s’imposent
Pour l’heure, les autorités recommande de ne pas s’approvisionner dans les points d’eau non traités et non contrôlés tels que les sources et les puits et conseille qu’en cas d’apparition de diarrhée et de vomissements de se présenter dans une structure sanitaire la plus proche, de se réhydrater en prenant suffisamment d’eau et de portée attention particulière aux enfants et aux sujets âgés
Les médecins exhortent les personnes ayant été en contact avec l’eau de cette source à se rendre « de toute urgence à l’hôpital le plus proche »
Awa Ba (Stagiaire)