Le collectif Ñoo Lànk, veut jouer pleinement sa partition dans la lutte contre le coronavirus. Dans un communiqué parvenu à Guissafrica, le collectif y apprécie «positivement l’élan général face à cette pandémie».
N’empêche, il recommande à l’Etat «de faire preuve d’anticipation pour prévenir la dégradation de la situation, de traiter le coronavirus comme une arme de guerre capable de détruire les Etats africains et de tuer ses populations par millions, de subventionner les unités nationales de production des sanitaires nécessaires pour un accès plus facile à toutes les familles».
Selon les membres de cette entité, l’Etat doit «prendre un décret exigeant de chaque direction de l’Etat, entreprise du privé, centre de santé, centre social ou établissement recevant du public la mise en place obligatoire d’un dispositifs anti coronavirus. Il attire l’attention sur les marchés que les mairies doivent encadrer avec un plan de sensibilisation et d’hygiène à appliquer sans faille ».