“La cour a estimé qu’elle est saisie par les actes d’appel, c’est-à-dire le jugement sur la demande de liberté provisoire rendue le 2 février 2018 et le jugement rendu au fond le 30 mars 2018. La Cour s’estime réellement saisie. Rien ne me dit qu’une décision a été rendue par la Cedeao. De plus, rien ici ne me dit quel est son impact”, écarte le juge d’appel.
“Arrêtez de me faire le procès du diable. Rien ne me prouve qu’il y’a une décision de la Cedeao. Arrêtez de me faire porter des responsabilités que je n’ai pas”, supplie encore le magistrat Demba Kandji.