Pendant de longue annĂ©es, je dĂ©testais la fĂȘte du mariage car mes vieux oncles me tapait disaient toujours dans le dos en disant :
–Â Alors mon grand, câest bientĂŽt toi le prochain ?
– Mais je leur en ai passĂ© lâenvie lorsque je leur ai fait la mĂȘme chose en les retrouvant Ă un enterrement.