L’association de femme “Ma noirceur ma fierté” a manifesté contre le khessal ce weekend à Kaolack. D’ailleurs, elles vont continuer à manifester dans toutes les grandes villes, promettent –elles, pour sensibiliser les femmes et demander au gouvernement d’interdire l’interdiction des produits de dépigmentation
Le collectif qui regroupe des centaines de femmes a préféré démarré ses manifestations nationales, dans la capitale du Saloum, j’jusqu’à là très touchée par le phénomène du khessal malgré la politique de sensibilisation
L’association
de femme “Ma noirceur ma fierté” a manifesté contre le khessal ce
weekend à Kaolack. D’ailleurs, elles vont continuer à manifester dans toutes
les grandes villes, promettent –elles, pour sensibiliser les femmes et demander
au gouvernement d’interdire l’interdiction des produits de dépigmentation
Le collectif qui regroupe des centaines de femmes a
préféré démarré ses manifestations nationales, dans la capitale du Saloum, j’jusqu’à
là très touchée par le phénomène du khessal malgré la politique de
sensibilisation.
Les produits utilisés pour la dépigmentation de la peau sont présentés sous forme de crèmes, gels, laits corporels ou savons. Ils sont appliqués sur tout le corps seuls ou en association, une ou plusieurs fois par jour, le plus souvent pendant des années. L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a lancé une alerte depuis 2011 pour informer la population que ces produits exposent les utilisateurs à des risques pour leur santé. Il s’agit, dans la majorité des cas, de maladies de la peau (infections, acné, vergetures, atrophie, troubles de la pigmentation, etc.). Ces pratiques peuvent également être à l’origine d’un risque accru notamment de diabète et d’hypertension artérielle, de complications rénales et neurologiques. Enfin, cela expose l’enfant à des risques toxiques en cas d’utilisation chez la femme enceinte ou allaitante.