L’Unesco veut intégrer l’intelligence artificielle dans les modules

Le Centre de formation judiciaire (Cfj) organise, depuis hier, un atelier de formation de trois jours sur le thème «Intelligence artificielle et état de droit en Afrique de l’Ouest».

Des institutions de formation judiciaire du Bénin, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, du Mali et du Togo participent à ce renforcement de capacités initié par l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) qui veut que l’Ia soit intégrée dans les modules de formation des magistrats et autres responsables judiciaires.

Comment explorer l’opportunité d’intégrer un module de formation sur l’intelligence artificielle et l’état de droit ? Magistrats, acteurs judiciaires et responsables des institutions de formation judiciaire des pays d’Afrique de l’Ouest comme le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Togo et le Sénégal réfléchissent sur la question pendant trois jours. À cet effet, le Centre de formation judiciaire (CFJ) accueille, depuis hier, un atelier de formation sur le thème «Intelligence artificielle et État de droit en Afrique de l’ouest». Organisée en collaboration avec l’Unesco, cette rencontre vise à familiariser les participants à l’utilisation de l’Ia dans le traitement des contentieux au niveau des systèmes judiciaires.

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Author: Serigne Saliou Seck

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