Après les Panama papers, Swissleaks et Paradise papers, place maintenant au Dubaï papers. Il s’agit d’un vaste réseau de blanchiment offshore et de fraude fiscale aux Émirats Arabes Unis.
Le magazine français Nouvel Observateur, qui a eu accès aux documents consultés par Libération, cite également des oligarques russes, des sportifs, des grandes fortunes, des aristocrates et des chefs d’entreprise français.